Jusqu’à récemment, je n’avais fait qu’une tentative de macro photographie, il y a longtemps, en argentique.
La photo numérique est une délivrance dans ce domaine car cela permet de « gâcher de la pellicule » sans surcoût. Et forcément, quand on débute en macro photographie, il y a du déchet ! Après l’acquisition d’un objectif 100 mm macro, j’ai fait un premier test sur ce qui m’est tombé sous la main : le jardin de mes parents après une averse.
Après avoir lu la trilogie des fourmis de Bernard Werber, je ne doutais pas de l’intérêt de leur observation.
Note : Je ne touche pas à mes sujets. S’il y a des gouttes, c’est de la pluie ou de la rosée. Si je présente plusieurs vue d’un même insecte, c’est qu’il a été coopératif, pas qu’il s’est pris un coup de spray paralysant (si si, ça existe !).